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The Worm En octobre 2019 est apparu un inconnu présenté comme "The Worm". Personne n'a vraiment compris son but au départ, la première édition a été une catastrophe. Les gens s'en sont simplement moqué, ne réalisant pas les défis proposés. Ignoré, The Worm a prévu cette possibilité. Pour marquer le coup, l'individu a frappé fort le soir du 31 octobre. Des drames, des vandalismes, des incendies. Le chaos a traversé la ville à quelques endroits, prouvant donc la véracité de ses paroles. › plus
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 pool party. (maylor#1)

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Taylor Pettersen
Taylor Pettersen
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âge : ((vingt-trois années)) le compteur des années s’affiche et vingt-trois ans que tu es sur terre, née un huit avril mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf, au printemps sous le signe du bélier.
occupation : ((étudiante)) dans le monde de la mode, un grand monde vaste où la fashion week de Paris, Milan et Londres te fait rêver chaque jour.
situation amoureuse : ((en couple)) avec le fils à papa de la famille Watford, proche et associé de ton père. Pour ne pas le décevoir tu as accepté de fréquenter ce type qui est par excellence le cliché du fils à papa.
logement : ((prospect height) une baraque digne des villas les plus côtés de Brooklyn, qui illustre bien les moyens de ta famille, ce que tu préfères la piscine bien sûr.
à NYC depuis : ((tes trois ans)) la société de tes parents a pris de l’ampleur à ce moment-là, si bien que le siège social s’y est retrouvé donc tu as déménagé à l’âge de trois ans pour te retrouver à New-York plus précisément à Brooklyn.

Maylor "We walk pass each other without a look (a look)
I don’t know what to answer when people mention it (mention it)
Our circles try to reason us (reason)
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MessageSujet: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyLun 3 Oct - 16:07


pool party

Le cinquième de la semaine. Le cinquième départ de tes parents cette semaine. Encore une fois tu te retrouvais toute seule dans cette énorme baraque. C’était hyper compliquée à gérer toi qui adore être entourée par du monde sans arrêt. Alors comme à chaque fois, tu gères ta crise en organisant une grosse soirée. Tout le monde peut venir, les amis de Wayne, les amis de l’université qui sont dans ta classe. Des connaissances, du voisinage absolument tout. Il te suffit pour ça, d’ouvrir ton compte Twitter et de lancer ton fameux hashtag avec une phrase annonçant une grosse soirée ce soir. Grosse soirée chez moi ce soir, #405 - prospect height. Chez Taylor Pettersen. La bombe est lancé et n’attends qu’a exploser. Lily-Ana t’envoie un message pour savoir si elle peut passer t’aider à préparer tout ce qu’il faut comme boisson et quelques trucs débiles à grignoter. Toute façon tu sais bien que dans ce genre de soirée personne ne mange jamais rien. Tu sautilles sur place en lui répondant que bien sûr avec plaisir. Tu te lances dans la quête d’aménager le grand salon pour l’occasion. Enceinte portative des deux côtés de la baie vitrée menant à l’extérieur. Canon à mousse diriger vers la piscine, matelas gonflable. Certes on est au mois de septembre mais la température reste parfaite pour les pools party et toute façon qu’il fasse moins trois degré ou dix-huit, il y a toujours de fous pour s’y jeter. Tu pousses les canapés dans le fond de la pièce pour lancer un maximum d’espace pour danser, tu galères quand même à installer les tables avec toutes les bouteilles de bière, le fut de bière que tu as commandé aussi qui t’ont été livré en un temps record. Fidèle cliente ou non. Tu souris plutôt satisfaite de ce que tu as aménager. Lily-Ana ne met pas longtemps à te rejoindre et à finaliser quelques trucs. « On se prépare ensemble. » Lance-t-elle dans ta direction les yeux pétillants. Autrement, tu sais que ça veut dire est-ce que je peux mettre une de tes robes. Lily-Ana est sympa. Mais ce n’est pas une vraie amie. Au moindre scandale elle aura décampé. Tu hoches la tête quand même pour accepter sa proposition. Tu ne peux pas te perdre maintenant des « amies ». Tu lèves le menton pour admirer le grand salon dans sa splendeur. « Ouais mais avant il reste des trucs à faire. Fais-les. » Tu lui ordonnes quasiment. Chacune profite de l’autre à sa manière. Bien que tu lui prêtes ta robe, il faut bien une contrepartie et pas gratuite. Tu montes à l’étage de la maison pour rejoindre ta chambre, Lily-Ana ne met pas longtemps à te rejoindre juste le temps que tu lui sortes une robe. Tu sais qu’elle ne dira rien, tant que c’est une robe de créateur elle ne chouinera pas. Une de la collection printemps-été 2016, de la fashion week de Paris, que tu avais eu en cadeau à la suite de la donation de tes parents. Tu étais tellement contente ce jour-là qu’il soit avec toi, pendant ce défilé et qu’il partage ta passion avec toi. Un demi-tour sur toi-même pour aller récupérer ta robe. Que tu enfiles devant Lily-Ana sans aucune gêne, la jalousie se lit dans son regard. Une robe si courte et si moulante qu’on en perd la tête. S’habiller en bombe, pour faire passer le temps et recevoir dans les meilleures conditions qui soit. Enfin venait le maquillage et la coiffure, simple trait d’eye-liner et cheveux détaché. Lily-Ana avait opter pour cent fois trop de maquillage et cent fois trop de coiffure sophistiquée. Tu haussais les épaules hypocritement. « C’est parfait, t’es superbe. » Mensonge mais le jeu en valait la chandelle, elle n’arrêtait pas de zieuter Wayne ces derniers temps. Même si elle sortait avec Walter elle ne pouvait pas s’empêcher de loucher sur Wayne, qui lorsque l’on parle du loup. Vient de franchir la porte avec ces potes et commencer à balancer le son dans les enceintes, qui siffle tellement fort que ça résonne dans tout le jardin. Tu descends les escaliers talons au pied. Tu te loves contre Wayne. « Salut toi. » Séduction dans la voix, dans le regard et dans le langage corporel. Wayne n’était pas un dieu du sexe comme il pouvait s’en vanter auprès de ces potes, il n’était pas le mec à donner des orgasmes ni quoi que ce soit, Pourtant, il s’en vantait devant tout le monde, mais pour ne pas gâcher les choses tu gardais ça secret. Le grand salon se remplissait de plus en plus, petite danse sensuelle contre Wayne et sa bouteille de bière en main. Quelques allers-retours entre le bord de la piscine et le grand salon pour danser. Lily-Ana s’est accaparé de Walter et Wayne semble vouloir approfondir la soirée avec toi. « Viens, on va dans ta chambre. » Murmure-t-il contre ton lobe d’oreille, l’haleine de la bière, écœurant. « T’es bourré mon cœur. » Tu siffles, tu sais qu’il aime quand tu l’appelles de la sorte, il peut reconnaître ces tords, mais ce soir tu n’as pas envie de te le taper, tu préfères t’amuser. Alors il continue à forcer malgré tout. Mais un élément perturbateur vient sonner le gong sauveur. Des cris de filles à l’intérieur du grand salon. Tu te lèves du transat du bord de la piscine pour aller voir de quoi il s’agit.
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Miles Gallagher
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âge : vingt-sept ans, officiellement proche de la trentaine, mentalement bien loin de celle-ci.
occupation : barman dans l'un des pubs de brooklyn, les joies de servir la clientèle, de picoler avec elle, jusqu'au petit matin.
à NYC depuis : depuis ses dix ans. avant ça, c'était la petite vie british paisible, avant qu'une aiguille de trop vienne à planter ses parents dans une overdose.

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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyMar 4 Oct - 0:15


pool party

Un high-five lancé à son partner in crime de la soirée, des bières lancées depuis le bac qu’il attrapa au vol, et Miles leva celle-ci comme un trophée. « Je trinque à cette nouvelle idée de génie qui va nous rapporter gros ! » Bruit de bouteilles de bières cognant entre elles, gorgées bues à plusieurs reprises, des sourires carnassiers, des airs excités. Ce n’était plus qu’une question de temps avant qu’il ne braque le magasin de bijoux du coin. Le plan avait été élaboré, tic, tac, plus qu’une question de temps avant que ça ne fasse boum. Sur le chemin du retour, sa tête était appuyée contre le carreau. Il était assis à l’arrière, en train de divaguer, pendant que les deux abrutis à l’avant du véhicule étaient en train de parler de ô combien Margot Robbie était bonne, dans tous ses films, surtout dans le Loup de Wall Street, où ce con de Dicaprio lui menait bien la vie dure. CMB. Hilarité générale, ils avaient l’air d’une bonne bande d’abrutis. Arrivés au coin de la rue où habitait Miles, il allait être jeté comme un colis pour que la voiture ne redémarre en trombe, quand soudain : « Putain frère, y’a une fête chez les voisins et tu dis rien ! Si tu penses t’en sortir ainsi, tu peux encore te fourrer le doigt dans le cul. » Miles décolla sa tête de la vitre et jeta un coup d’oeil vers ladite fête en question. C’était incroyable : face à lui, une fête, encore. L’autre poufiasse de voisine avait encore besoin de se taper l’affiche et d’inviter tout le quartier, dont les trois-quart qui se foutaient éperdument de sa tronche et venaient uniquement pour les rafraichissements. « Ouais, c’est la saint-nitouche du coin, elle a encore besoin de se faire mousser avec sa fête de merde. » Son ton était détaché, presque blasé, parce que c’était toujours pareil. « S’tu veux mon avis, ses vieux sont encore partis en week-end pour se dire qu’ils baisent à un autre moment qu’à Noël et aux anniversaires. Alors elle en profite la gamine, elle rameute tout le monde. » Luke détacha sa ceinture et sortit de la voiture. « Alors on y va aussi mec. » Qu’est-ce qu’il foutait ce con, à aller bite en main dans ce merdier ? Ca puait la pichatte à des kilomètres cette fête. Pour le coup, Miles n’était pas d’humeur, il comptait plutôt mettre fin à la fête. Mais il ne pouvait pas laisser à ses petits copains tout le plaisir de faire enrager l’autre barge. Alors, il sortit de la voiture aussi, sortit une clope pour se l’allumer et la fumer tranquillement. « Faire péter cette baraque de merde me ferait le plus grand plaisir. Allez feu bro, on y passe et on voit ce qu’il y a à se mettre sous la dent. » Les cinq amis étaient tous dans la même optique : foutre la merde. Alors, dans leur démarche de pseudo-caïd, ils traversèrent la rue, montèrent les quelques marches du perron et zigzaguèrent entre les différents invités. « Allez, barrez-vous, faites place aux grands. » avait-il lâché assez sèchement, comme pour les effrayer. S’en suivit des coups d’épaule, des mouvements secs de mains contre les gobelets rouges pour renverser ceux-ci sur leur passage. Ca puait les emmerdes, ce genre de comportement. Gallagher et compagnie étaient dans la place et n’allaient pas mettre longtemps avant de créer un carnage. Pendant que Luke et Karl partirent en direction de la cuisine pour renverser le légendaire ponch sur le sol en marbre blanc, Loris et Blake s’amusaient dans le salon, à casser les bibelots, à bousculer les personnes sur leur passage, bref, le classique quoi. Lui en profitait pour faire un petit repérage des lieux. Il était déjà venu, précédemment, pour fouiller dans la cave après quelques trucs et autres intéressants à reprendre, pendant que la famille était occupée à s’en mettre plein la panse à un repas d’affaire à l’étage. Ici, c’était différent. Il était entré comme un king par la porte d’entrée principale. C’était limite si on ne lui avait pas déroulé le tapis rouge. Bande de cons. Petit tour dans la première salle de bain du rez-de-chaussée, produits de luxe en tous genres, seul un déodorant dénotait. Une sous-marque. Tiens, tiens. Il prit le déodorant en spray dans une main, le fit tourner entre ses doigts alors qu’il sifflotait distraitement jusqu’à la pièce principale. « Hé Luke, c’est quoi le premier truc que tu m’as montré quand on s’est rencontrés ? » Air complice, sourire narquois, puis Miles sortit son briquet de sa poche. Petite flamme du briquet en question, pression sur le spray, grosse flamme en plein milieu du salon. « Allez les trous du cul de riches, barrez-vous. Vous aussi les pouffiasses, si vous ne voulez pas que je vous brûle les extensions. Vous allez sentir le cochon mort j’vous préviens. » Deuxième coup de pression, un bout de flamme sur l’un des stores du salon. Des cris, encore. Il leva les yeux au ciel, fallait toujours que ça gueule. Mais les cris des invités n’étaient rien comparé à celui que sa voisine poussa, lorsqu’il la sentit à six mètres de lui, dans son dos. « Salut princesse, t’en veux un coup? » Elle n'allait pas l’emmerder longtemps, elle et sa fête de Barbie.
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Taylor Pettersen
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occupation : ((étudiante)) dans le monde de la mode, un grand monde vaste où la fashion week de Paris, Milan et Londres te fait rêver chaque jour.
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logement : ((prospect height) une baraque digne des villas les plus côtés de Brooklyn, qui illustre bien les moyens de ta famille, ce que tu préfères la piscine bien sûr.
à NYC depuis : ((tes trois ans)) la société de tes parents a pris de l’ampleur à ce moment-là, si bien que le siège social s’y est retrouvé donc tu as déménagé à l’âge de trois ans pour te retrouver à New-York plus précisément à Brooklyn.

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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyMar 4 Oct - 11:20


pool party
Talons qui claquent dans tous les sens. Tu laisses derrière toi Wayne allongé sur le transat fumant l’herbe que son pote lui à ramené il y a quelques heures. Tu lèves les yeux au ciel. Tu avais bu qu’une seule bière depuis le début de la soirée, mais tu avais fumé son herbe. Et tu te sentais déjà un peu titubé. Putain. Il y avait quoi dans son truc. Tu penses assez fort pour essayer de reprendre tes esprits mais tout semble un peu brumeux. Tu te précipites vers les cris survenant à l’intérieur de la maison. Dans le grand salon. Tout le monde semble former un cercle avec cinq abrutis à l’intérieur. Un gros barjo avec un déo à la main et un briquet dans l’autre. Tu n’étais pas impressionnée. C’était juste que tu étais sous l’emprise de stupéfiant alors tu dramatises, comme une drama queen – digne du film Lolita Malgré Moi – en fronçant les sourcils et en tournant la tête vers l’extérieur de la baraque en observant Wayne, posé sans prise de tête l’agacement prend possession de ton corps. « Mais bordel qu’est-ce que vous foutez ici ?! » Tu cries en demandant de baisser le son des enceintes en faisant un signe de la main à Arthur qui gère la musique. Déjà la moitié des invités avait foutu le camp et un énième regard vers Wayne allongé qui n’avait pas ramené son cul. Il fallut que Lily-Ana l’appelle pour qu’il daigne se bouger. Toujours là celle-là. Croisant tes bras sur ta poitrine, le regard vitreux vers les intrus. « Je peux savoir ce que vous foutez, vous êtes en train de niquer ma soirée. » Tu grondes en souriant, comme si tu n’étais pas crédible une seule minute. « Ce n’est pas croyable ce que les mecs vous êtes débiles, y’a pleins de jolies filles pour vous ici. Et vous venez tout gâcher. Servez vous à boire et détendez-vous. » Tu n’avais même pas tilté qu’il était un poil plus âgé que toi et tu t’en foutais. Personne ne détruisait tes fêtes comme ça. Et encore moins une bande d'abrutis des bas quartiers. « Si vous avez b’soin d'argent, il faut aller ailleurs les gars. » Tu souffles en levant les yeux au ciel, ton condescendant pour rabaisser la classe inférieure. Tu poses ta main sur l’épaule du blond de la bande et tu le pousses légèrement vers la sortie. Tout le monde en train de se demander ce que tu fous et à quoi tu joues. Tu ricanes de la situation, mais la voix de Wayne gronde dans le grand salon et ton agacement se remet en marche. C’est lui qui déclenche ça aussi facilement grâce à la beuh. « Ouais cassez-vous les gonzesses ! » Gueule-t-il après les intrus de la soirée. « C’est bon Wayne ! Je gère, retourne là-bas. » Ton plein de reproches et d’amertume. Tu peux même voir Lily-Ana jubiler sur place. Tu soupires et tu recentre ton attention sur le gars proche de toi que tu as essayé d’évincer vers la sortie mais qu’en faite il n’a pas bougé d’un poil. « Steuplaît, mec ? Enfin peu importe comment tu t’appelles mais tire-toi de là avec tes potes. Wayne est casse-couille ce soir. » Sous prétexte que le blond devait entendre c’est qu’il ne fallait pas faire chier Wayne, car il a son petit caractère et que si tu fais partie du monde social auquel il appartient il peut vite faire jouer ces relations pour vouer à l’échec ton avenir et toi tu détestais qu’il est se pouvoir sur les gens alors tu voulais sauver les meubles avant que le châtiment Wayne ne vienne s’abattre sur ce pauvre gars - enfin c’est ce que tu croyais qu’il était un pauvre gars – l’éclat de rire des pote du blond résonnait dans tout le salon. Mais celui des potes de Wayne était encore plus provocateur et vraiment tu reconnaissais le côté violent de Wayne rien qu’à entendre son rire. « Eh, merde j’aurais essayé de te prévenir. » Tu hausses les épaules le regard désolé vers le blond baraqué de la bande. En te concentrant tu essayes de le détailler un peu mieux. « Mais on se connait non ? » Tu lui demandes l’air interrogateur. « Tu connais ce trou du cul, Taylor ? » Siffle Wayne, son ton t’insupporte, tu es carrément en train de serrer les poings pour te retenir de lui en foutre une, ça ferait bien trop jubiler Lily-Ana qui est quasiment accrochée au bras de Wayne. Ton regard se plisse sur les traits du visage du gars et tu essayes de te souvenir d’où est-ce que tu peux l’avoir vu, mais pas facile avec cette weed dégueulasse que tu as fumé. Elle a des effets terriblement relou, comme le fait que dès que Wayne ouvre la bouche ça te donne des envies de meurtre. Finalement tu décale ton regard du blond, pour le placer sur ces potes mort de rire derrière lui, pourtant lui semblait avoir le regard froid, limite, meurtrier. Merde Tay, casse-toi de là. Ce gars ne rigole pas. Limite tu prends tes jambes à ton cou en disparaissant dehors le long de la piscine. Il suffit de quelques minutes plus tard pour comprendre que tout le monde à décamper pendant que toi tu vomissais tes tripes à cause de la beuh dégueulasse de Wayne, l’air frais du jardin te faisait reprendre peu à peu tes esprits. Tu n'avais aucune idée de ce qu’il s’était passé dans le salon pendant ton absence et sûrement que tu ne te souviendrais de rien du tout. Mais les cinq gars, les intrus, sont toujours dans ton salon maintenant ils sont assis dans ton canap. Tu peux les voir depuis la grande baie vitrée. « Eh c’est quoi ce délire, la fête est finie vous n’avez pas vu tout le monde est partie. » Tu lances de dehors pour éviter un maximum le contact avec ces gars-là.  
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Miles Gallagher
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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyMar 4 Oct - 18:32


pool party

Miles ne put s’empêcher de lâcher un rire franc. C’était quoi cette meuf, qui était plutôt en train de paniquer que sa fête allait être gâchée, plutôt le fait que sa maison allait être allumée comme un sapin en deux secondes s’il le voulait ? Elle ne semblait pas ciller de sa présence. Parfait, elle semblait conquise de l’effet Gallagher. Les quatre potes à côté s’enjaillaient sur les lieux. Deux d’entre eux avaient fini par trouver une réserve de bières dans le frigo et ouvraient celles-ci grossièrement, dans le but de picoler comme des trous aux frais de la princesse. Une princesse qui avait simplement claqué des doigts pour que la musique se baisse, pour que la cour royale s’arrête de bouger et fige ce moment plutôt épique. Elle l’épatait. A croire qu’elle était plus en panique de voir que les réseaux sociaux allaient afficher une fête gâchée plutôt que les journaux afficher une maison brûlée. « Hé bien, si tu accueilles tous tes invités comme ça… » commença-t-il, bien vite coupé par l’arrivé d’un bouledogue au nez retroussé. Ne l’avait-il pas déjà vu, à la rubrique des pires fils à papa de l’année ? A croire que s’appeler Wayne était digne d’avoir une destinée de merde. « Bien sûr qu'on se connait.. » finit par lâcher Miles, avant de redescendre de la table basse du salon sur laquelle il était monté quelques instants plus tôt. Petit tour sur lui-même, pour se calquer à la musique qu’on entendait encore en fond. Il était chaud, à croire qu’une forme de drogue ou d’alcool le rendait ainsi. Alors que ce n’était simplement que de la pure folie. « On est même intimes, elle et moi. Ce n’est pas tous les jours qu’on a le droit à un strip tease improvisé depuis la fenêtre de sa propre chambre, hm ? Du Victoria Secret, si je ne m’abuse ? Classique. » Passant sa langue sur sa lèvre inférieure, il détailla du regard la poupée face à lui. Elle était pimpante, bien trop préparée pour se dire qu’elle ressemblait ainsi au réveil. Comme la plupart des filles d’aujourd’hui, malheureusement. C’était toujours une surprise de les découvrir les lendemains de veille. Air provocateur, défiant du regard le fameux Wayne. Lui aussi s’était rapproché, c’était évident. Quel genre de mec finirait par tourner les talons en laissant sa copine gérer seule la situation face à un abruti comme Miles ? Derrière lui, une meuf, une autre, en train de miauler à son bras. « C’est quoi le délire ici ? Un trouple ? Je comprends mieux pourquoi ta meuf se dandine devant moi, finalement, si tu savais au moins gérer les deux, mec… » La phrase de trop, le poing de Wayne partit en direction de Miles. C’était évité de justesse, évidemment. Et il se mit à rire, juste un instant, un très court instant. Car il était un peu fêlé sur les bords, le pauvre enfant. Un déodorant en spray dans sa main et un briquet suffisaient à ce qu’il dépasse complètement les bornes. Coup de pression en direction de Wayne, pour le faire rebrousser chemin. « Allez, recule Roméo. Ca concerne uniquement Barbie et moi. » Il ne comprenait pas ? Deuxième coup de pression, deuxième flamme dans sa direction. Miles se demandait comment il allait se sortir de ce merdier. Cela sentait le chaud dans le salon, autant que ce parfum exotique bien dégueulasse. La fameuse Lily-Ana cherchait désespérément à tirer sur le bras du boloss en face de lui, pour le faire partir dans le jardin, pour qu’il se calme, apparemment. Ce qu’il finit par faire, sous les applaudissements ridicules et moqueurs de la troupe de copains de Miles. « Anyway… » reprit-il, pivotant sur lui-même pour faire à nouveau face à Taylor. Sourire charmeur, il revint vers elle. La voir fulminer avait quelque chose de particulièrement palpitant. Coup d’oeil vers l’assemblée, à moitié interloquée, intriguée, puis coup d’oeil vers le déodorant, l’air déçu. « Dis-moi princesse, t’utilises souvent des vieux trucs de ce genre au parfum exotique ? C’est vraiment une odeur… » de poufiasse ? « Etrange. » finit-il par conclure, avant de se remettre à faire tourner le déodorant autour de ses doigts. Il s’approcha peu à peu à pas de loup vers la jeune femme. « Tu ne m’as pas présenté à ton ami, bébé ? Même si, entre nous, ça ne semble pas servir à grand-chose, il a l’air trop occupé à faire une forteresse autour de la poitrine de ta copine… » C’était provocant. Difficile à entendre ? Cela puait surtout la vérité à des kilomètres, en réalité. Il fallait être aveugle pour ne pas remarquer qu’entre ce crétin de Wayne et Barbie girl, seule une petite braise restait allumée par le plus grand des hasards.
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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyMar 4 Oct - 20:47


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Étrangement, ce gars semblait complètement cinglé. Mais tu n’avais pas réellement peur, tu restais là planté devant lui ta main sur son épaule comme si tout allait bien dans le meilleur des mondes, derrière toi Wayne qui faisait craquer ses phalanges et le gars face à toi complètement calme. La beuh te faisait tourner la tête comme pas possible. Tu essayais de prendre conscience de la situation, mais tu savais que tu allais finir par aller gerber dans le jardin. Pourtant, Wayne t’avait donné cette daube. « J’accueille toujours mes invités de cette façon. » Tu déclares en croisant les bras sur ta poitrine, tentant de ne pas vaciller et de rester concentré sur comment, tu en es arrivé à te faire sermonner par un inconnu. Et ce fameux blondinet venait de déclarer devant ton mec, ton futur et ton avenir en même temps pour le bien de tes parents, que tu connaissais ce gars mais pas de la plus naturelle des façons non non, c’était pire que ça. « Wow, wow calme toi, ne prends pas tes désirs pour une réalité. » Tu pivotes sur toi-même pour faire face à Wayne. « Il dit n’importe quoi, je ne le connais même pas ce gars hein. » Pourquoi tu te justifies alors que tu sais qu’il se passe clairement un truc entre lui et Lily-Ana. Et comment ce gars pouvait deviner la marque de tes sous-vêtements c’était à ne plus rien y comprendre. Lily-Ana essayait carrément de le calmer en le faisant aller dehors dans le jardin. En même temps, le blondinet l’avait vraiment traumatisé avec son chalumeau maison. Une nouvelle fois, tu pivotes pour te retrouver face à l'intrus de service. « Un trouple ? Non bien sûr … Que non » Une légère hésitation, bien sûr que toi tu n’envisageais pas de faire ce genre de plan mais il faut quand même admettre que si un inconnu arrive à voir que Wayne semble proche d’une autre fille que toi, le souci est là. Mais l’heure n’est pas de savoir si Wayne te trompe ou pas. L’heure est à virer ce fou furieux de chez toi avant qu’il ne crame tout avec son chalumeau à deux balles. Ce gars avait réussi à faire fuir Wayne et Lily-Ana, certes il prenait l’air dans le jardin. Mais quelques minutes plus tard, ils avaient déserté la maison te laissant seule, toi et cinq autres gars. Ça sentait mauvais. « Je pense que la soirée est finie, vous feriez mieux de partir maintenant. » Mais le blond ne voulait rien lâcher. En montrant le déodorant qu’il tenait en main comme un trophée. « Ce n’est pas à moi. » Tu soupires en haussant les épaules et commençant par t’activer à ranger tout ce bordel. « Quand vous partirez passer par derrière et laisser la baie vitrée ouverte ça va aérer, parce que cette odeur de poufiasse j’en peux plus. » Toi tu te prenais pour une femme, le Narta femme faisait très bien l’affaire. Pas l’Ushuaïa qui schlingue pendant des heures. Ton espace intime, un peu trop occupé. Tu essayes de reculer tant bien que mal en essayant de te concentrer sur ce qu’il y a à ranger. « Je ne suis pas ton bébé, pour commencer … Euh, inconnu ? » Tu te baisses pour ramasser encore tous les détritus au sol. « La sale garce, en plus de me voler mon mec, elle me laisse en plan. » Ce n’est pas comme si tu aimais passionnément Wayne, c’était purement du paraître votre couple. Surtout, que Lily-Ana allait être déçu de comment tu as vendu Wayne comme un dieu du sexe alors qu’il est clairement incapable de te faire avoir un orgasme, il fallait le faire pour défendre des types comme ça. « Qui ça Wayne, oh, c’est un boloss. Mais du coup pour savoir autant de choses intimes sur moi et mes sous-vêtements ? Tu ne serais pas un voyeur par hasard ? » Tu lances en rigolant. Parce qu’il est vrai que tu fais ce genre de défilé chez toi dans ta chambre, mais tu n’es pas conne au point de laisser voir la terre entière ce qu’il se passe dans cette chambre. Alors légèrement troublé par cet individu, tu soupires. « Il vaudrait mieux que vous partiez avant que la police n’arrive pour tapage et que je leur fasse mon numéro spécial. J’aurais du mal à jouer la comédie si vous êtes là. » Tu expliques en prenant à nouveau les sacs poubelles pour y foutre tout ce que tu trouves. « Bordel de merde, des préservatifs usagés sur mon canapé. Les gens sont des porcs. » Tu mimes le dégoût avec ton visage et le fait que les gars soient encore là, ça commence légèrement à t’agacer. Wayne était parti donc tu étais moins en colère. Mais ce gars-là, ce n’était pas la même colère que tu éprouvais pour Wayne c’était différent. Un regard vers les abrutis en train de se taper tout ton frigo de bière, ce n’était pas plus mal. Tu n’aurais pas à justifier tout ça dès que tes parents reviendraient d’affaire.
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Miles Gallagher
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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyDim 9 Oct - 16:00


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Bon, le petit copain, c’est fait. Les invités, c’est fait. Il ne restait plus que l’hôte du jour. Face à lui, elle était en train de se déhancher, à mi-chemin entre une pétasse allumée et une shootée complètement à l’ouest. Il ne se souvenait pas d’avoir approché cette fille d’aussi près. Dans ses souvenirs, rares auront été les échanges entre leurs deux personnes. C’était sûrement arrivé lorsqu’il était bien explosé à cause de l’alcool ou de la drogue, au point de ne pas s’en souvenir. Pourtant, en agissant ainsi avec elle, c’était comme s’il l’avait toujours connue. En même temps, pas bien difficile, quand on sait qu’il a déjà passé plus d’un long moment à l’observer, elle et ses mimiques : enrouler une mèche de cheveux lorsqu’elle cherchait à se concentrer, passer trois fois dans le miroir avant de quitter sa chambre, la voir ouvrir le store de sa fenêtre tous les jours à six heures et quart du matin, pour le baisser après vingt-trois heures, attacher ses cheveux avant d’entrer dans ses draps, lire un jour sur trois, des romans d’amour, principalement. Mais cela faisait-il réellement de lui un voyeur ? L’idée le fit rire aux éclats, avant qu’il ne lâche le déodorant en l'envoyant sur l’un des canapés, puis de se dandiner lentement dans la direction de la voisine. Véritable changement d’humeur pour lui, c’était comme s’il était en phase de jouer. Jouer avec elle. « Pas un voyeur, juste un simple observateur. » avait-il murmuré, de tout son calme. A la suite de la jeune femme, il fit de grands pas et parcourut toute la pièce principale. Ses potes s’étaient tous réunis dans la cuisine, le laissant seul avec elle, alors que les derniers invités étaient sur le départ, sur le pas de la porte. Certains pestaient, d’autres avaient même poussé un semblant de hurlement apeurés par la bande de brutes qui avait déboulé quelques instants plus tôt. Miles, lui, ne cillait pas. C’était tout à fait normal de faire foirer une petite sauterie, il le faisait tous les jours. La seule chose qui changeait était qu’il était juste à côté de chez lui et que c’était sa voisine qu’il avait en cible. Planté dans son dos, il passa le regard par-dessus son épaule. Ses lèvres vinrent directement se loger dans le lobe de l’oreille de la blondinette. « C’est à se demander à qui sont ces préservatifs, en effet. Pas ceux de ton petit ami avec vos ébats en tout cas, ça m'a l'air bien mort de ce côté-là. » Qu'en savait-il ? Que dalle, il prêchait juste le faux pour connaitre le vrai. Il s’écarta d’elle, aussitôt qu’elle avait sursauté à l’entendre si proche d’elle. « Ceci dit, il y a toujours un bon spot d’observation pour ce genre de choses. Pour regarder dans ton salon, je n’ai qu’à me mettre dans ma salle de bain. Pour voir ce que tu cuisines, il me suffit d’aller dans le bureau. Pour ce qui est de ta chambre et de ta nouvelle lingerie… » Son sourire s’étira d’une manière à la fois malicieuse et déstabilisante. De toute évidence, elle allait comprendre où il voulait en venir. Peut-être même qu’une grimace allait bientôt naitre sur son joli petit minois. Alors, plaçant une main dans son dos, il la poussa de quelques mètres pour faire face à la fenêtre du rez-de-chaussée, celle donnant sur la maison de sa tante. « Tu vois la fenêtre là, au premier étage… » poursuivit-il, se plaçant dans son dos, ses lèvres toujours à proximité de son lobe d’oreilles. « C’était supposé être uniquement ma chambre, mais il s’avère que c’est une véritable tour d’observation, quand tu reviens de tes cours et que tu te changes pour te mettre ensuite à étudier tes cours de… mode, c’est ça ? » Cela devait en être flippant. Lui, ne bougeait pas. Il était largement amusé par la situation. Il avait même profité de leur proximité - sans doute de courte durée - pour loucher sur le décolleté de sa voisine. Grossier personnage. Il put même sentir cette odeur florale et légère qui l’envahissait, signe d’un parfum de bonne qualité qui n’allait pas lui piquer au nez, ni même lui donner une migraine d’ici quelques minutes. Passant de l’éternel fou du labo avec son briquet au charmeur de ses dames, il chercha le regard de la jeune femme pour l’accrocher au sien.
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Taylor Pettersen
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âge : ((vingt-trois années)) le compteur des années s’affiche et vingt-trois ans que tu es sur terre, née un huit avril mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf, au printemps sous le signe du bélier.
occupation : ((étudiante)) dans le monde de la mode, un grand monde vaste où la fashion week de Paris, Milan et Londres te fait rêver chaque jour.
situation amoureuse : ((en couple)) avec le fils à papa de la famille Watford, proche et associé de ton père. Pour ne pas le décevoir tu as accepté de fréquenter ce type qui est par excellence le cliché du fils à papa.
logement : ((prospect height) une baraque digne des villas les plus côtés de Brooklyn, qui illustre bien les moyens de ta famille, ce que tu préfères la piscine bien sûr.
à NYC depuis : ((tes trois ans)) la société de tes parents a pris de l’ampleur à ce moment-là, si bien que le siège social s’y est retrouvé donc tu as déménagé à l’âge de trois ans pour te retrouver à New-York plus précisément à Brooklyn.

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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyDim 9 Oct - 20:11


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Toi en plein milieu du grand salon. Les mecs chelou qui avaient fini dans la cuisine. Tu ne savais pas trop quoi faire, tu devais les virer. Mais ton voisin apparemment n’avait pas l’intention de bouger d’un centimètre. Merde et ça s’était un gros problème. Tu avais l’intention de foutre les derniers sacs poubelles dans la cuisine mais le voisin avait décidé de te bloquer le chemin. Maintenant tu étais en plein milieu du grand salon. Lui derrière toi tournant autour de toi comme un requin autour de sa proie. Pourtant, tellement défoncé que tu n’y voyais même pas le danger tu étais complètement obnubilé parce qu'il pouvait déblatérer. Quelques instants tu venais à penser à Wayne qui était partie avec Lily-Ana, peut être que tu devrais lui envoyer un sms pour savoir ce qu’ils font. Mais finalement, tu t’en fous. Il peut bien faire ce qu’il veut. Avec qui il veut vous n’êtes pas mariés. Tu auras juste à dire à ces parents qu’il t’a quitté pour Lily-Ana qui est presque autant blindée que toi, enfin, pas la même image aux yeux des New-Yorkais que ta famille mais bon c’est le cadet de tes soucis. Ton attention se reporte face à ton voisin qui s’est glissé dans ton dos. Tu sursautes et tu frissonnes en même temps. Qu’est-ce qu’il te fait ressentir ce gars il est cinglé. « A ce rythme-là, je pourrais porter plainte. » Tu murmures comme si les autres pouvaient t’entendre. « Les flics vont débarquer d’une minute à l’autre, tires-toi. » Tu lances sèchement et assez fort pour que les autres entendent. Tu vois un des gars passé sa tête dans l’encadrement de la porte, regardant fixement le voisin peut-être qu’ils attendaient son feu vert pour se casser. Toi tu restes sagement à ta place mais il ne semble pas calculé le gars si bien qu’il continue de s’approcher de toi. Tu loupes un battement de cœur. Comment savait-il que toi et Wayne vous ne couchez plus ensemble depuis un moment et même quand c’était le cas il était tellement défoncé qu’il n’arrivait même pas à éjaculer ni même à bander par moment et il osait te reprochait le fait que c’était parce que tu n’étais pas assez bonne. Mais qui pouvait être plus bonne que toi ? Dans ton entourage tu ne voyais pas qui pouvait l'être, tout le monde te jalousais depuis la nuit des temps alors difficile de trouver mieux. « Qu’est-ce que t’en sais d’abord. » Tu lâches en restant calme et en faisant mine de rien. Il ne doit pas commencer à faire remonter tous les problèmes de couple. « T’es un psy ou quoi. » Tu déclares sèchement pourquoi ce gars pouvait en avoir quelque chose à foutre de ta relation entre Wayne et toi. C’est n’importe quoi. Un nouveau sursaut quand il se glisse derrière toi ses lèvres contre ton lobe d’oreille te procure une drôle de sensation. Plutôt agréable finalement, à croire que même Wayne ne te fait plus ressentir ça. Tu avais oublié à quel point c’est bon d’être désiré par un homme. Tu souris narquoisement et tu ne bouges pas d’un poil. Pourquoi ne pas rejoindre son jeu ? « T’es un putain de psychopathe. » Tu souffles dès qu’il a fini d’énumérer chaque pièce d’où il peut te voir. « T’es qu’un sale psychopathe je devrais porter plainte. » Mais encore une fois, t'y voyais vraiment une forme de désir et d’excitation. Ce gars te matait, de chez lui et ça t’excitait. T’es vraiment cinglé Taylor. Tu fais une grimace de dégoût pour masquer toute l’excitation que tu ressens, il fallait être une grande psychopathe pour affirmer le fait que tu aimes qu’il t’espionne. « Mais sinon tu fais autre chose dans ta vie que de me mater hein, sale pervers. » Tu lâches dans un soupir en levant les yeux au ciel. Tu repasses ton attention sur les sacs poubelles à tes pieds en te baissant d’une manière très provocatrice. Il faut provoquer, provoquer est ton crédo de toute manière. Une fois que tu te redresses, tu le sens de nouveau se coller à toi dans ton dos, un nouveau frisson, un nouveau feu ardent dans le creux de ton ventre, tu te mords la lèvre pour éviter de succomber à sourire et à aimer ça. Ton regard se dirige vers la fameuse chambre qu’il décrit. « Je fermerais mes volets constamment maintenant tu peux en être sûr. » Parole complètement contradictoire de cette envie de provoquer qui se creuse dans ton estomac. Bien sûr que tu vas continuer à faire comme si tu oubliais de fermer ton store. Te taper ton voisin, non bien sûr que non simplement le provoquer. Après tout il s’agit d’un jeu, il te plaît physiquement c’est inévitable, mais tu as pleins d’autres gars à foutre dans ton lit, avant que Wayne mette fin à votre demi-relation. Tu savais qu’il devait se taper d’autre meufs, bien sûr, toi trop de fierté tu préférais ne rien tenter avec d’autres gars. Mais quand Wayne voulait se rassurer, vous le faisiez chez lui. C’est différent que chez toi, ça semblait un peu plus réel déjà. « Oui de mode, mais c’est quoi ton problème hein ? » Tu te retournes pour lui faire face. T’approchant davantage de lui. Est-ce qu’il essaye de te déstabiliser pourquoi tu ne le fais pas autant. Tu poses ta main manucurée sur son épaule et à ton tour tu rapproches ton visage de son oreille. « Rassure-moi, tu n'aurais pas assisté à des choses qui pourrait t’avoir choqué ? » Tu t’amusais à rentrer dans le délire de ce gars alors que tu ne connaissais même pas son prénom. Mais tout pour couper court à votre petit spectacle, les keufs toquaient à la porte. « Oups, je t’avais prévenue. » Tu vois les potes du voisin détaler par le jardin à toute vitesse. Tu fais volte-face au grand blond pour te diriger vers la porte en faisant balancer tes hanches de gauche à droite.
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Miles Gallagher
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MessageSujet: Re: pool party. (maylor#1)   pool party. (maylor#1) EmptyDim 9 Oct - 21:52


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Miles avait levé les yeux au ciel. Forcément qu’elle allait réagir. Mais lui, il s’en foutait. Il jouait au pire des imbéciles, il n’était cependant pas dupe. Quelque chose ne tournait pas rond entre cette fille et son copain. En prime, quelque chose était en train de faire mouche entre Miles et elle. C’était soit ça, soit elle avait augmenté la température de ses radiateurs. Mais lui, ne démordait pas du regard de la blonde. Aussi agaçante qu’aguichante, il s’était bien rincé l’oeil sur tous ses faits et gestes. Il n’en perdait pas une miette, laissant même cette gaule naissante prendre place un instant. Une grande inspiration et il voulut se ressaisir. De toute évidence, il n’avait pas d’autres choix, car la police venait bien de débarquer dans un boucan infernal. Les rares personnes encore présentes avaient quitté les lieux en un rien de temps. « Voilà tes petits copains, prêts à te sauver, princesse. » lâcha-t-il, étirant un sourire et revenant vers elle. Où comptait-elle aller, au juste ? Leur ouvrir ? Il ne paniquait même pas. La police, c’était tous les jours qu’il l’avait sur le dos. Aujourd’hui n’allait pas changer la donne, visiblement. Pendant un bref instant, le regard de Miles s’était détourné pour regarder ses petits copains foutre le camp par la porte de derrière, dans le but de retrouver la voiture et de partir bien loin des lieux. Lui avait peut-être un léger stress en moins : il était juste à côté. Il lui suffisait tout simplement de passer de l’autre côté de la clôture pour ne pas se faire cramer. Dans les faits, c’était bien évidemment plus compliqué. Même s’il ne restait plus que lui dans la maison, il y avait toujours cette charogne qui avait appelé la police. Et la voilà qui s’en allait gaiement leur ouvrir. Lui emboitant expressément le pas, il vint se plaquer dans son dos. D’un mouvement brusque, il plaqua sa main sur son bas ventre pour l’attirer vers lui et la maintenir contre lui. Il ne comptait pas la lâcher de si tôt. « Et que vas-tu leur raconter au juste, ma belle ? » avait-il murmuré d'une voix rauque, étant dans son dos, alors que la sonnette de la porte d’entrée venait de retentir. Son souffle vint chatouiller le creux de l’oreille de la blondinette, alors qu’il reprit d’une voix confiante. « Tu commenceras par leur raconter que c’est la cinquième fois cette semaine que tu joues avec le tapage nocturne ? Ou tu préfères leur montrer toute ta petite collection d’herbe et autres drogues en tous genres ? » Si son ton se montrait sérieux et menaçant, tout son être venait de se figer. Sans le réaliser de suite, cette proximité provoquée était en train de lui procurer une multitude de frissons, partant du bas de son dos pour remonter jusqu’au haut de sa nuque. Etait-ce la douceur de sa peau qu’il avait frôlée ou cette odeur corporelle qui donnait envie de s’y nicher ? Il ne put le dire, mais cela était en train de réveiller en lui des pensées similaires à celles qu'il avait quand elle se promenait en petites tenues au bord de sa fenêtre. Alors que le bruit de la sonnette venait de retentir une seconde fois, le silence était tombé entre eux. Se rendait-elle compte, elle aussi, de ce qui venait de se passer pendant un instant ? Flammes naissantes au creux de ses tripes, Miles se laissa guider par les envies de celles-ci et laissa sa main glisser le long du tissu de cette robe noire et moulante, allant bien plus bas que le ventre de la jeune femme, se posant sur cet endroit interdit et intime. C’était audacieux de sa part, sans doute était-ce même suicidaire. Il n’avait aucune gêne avec elle, comme si cela lui semblait étrangement normal ? Un léger grognement s’échappa de la barrière de ses lèvres, alors qu’il entendit les policiers commencer à tambouriner contre la porte d’entrée, ils passaient à l’étape deux. La prochaine étape, c’était sûrement défoncer la porte. Le temps pressait. « La prochaine fois bébé, évite de prévenir la police. Je ne réagis pas toujours aussi gentiment. Au fait, moi c’est Miles. » chuchota-t-il tout contre elle, alors qu’il venait de mettre une pression conséquente de son doigt sur le point sensible de Taylor. Bordel de merde, ce qu’il avait chaud à cet instant. La seconde d’après, il s’était décollé d’elle et avait tourné les talons. Comme dans les films, en un claquement de doigts, elle aurait pu se retourner, il n’était plus là. Prenant ses jambes à son cou, il était parti par l’une des fenêtres ouvertes à l’arrière, prêt à cavaler et à sauter par-dessus la clôture, prêt à foutre le camp de là sans se faire choper. Mais pas prêt d’en rester là.
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